Après avoir enchaîné les parties du dernier jeu mobile à la mode, une jeune femme s’endort.À son réveil, elle se rend compte qu’elle s’est réincarnée dans un des personnages du jeu : Pénélope, la fille adoptive du duc Eckhart. Elle joue le rôle de l’antagoniste, celle dont la mort est assurée à chaque partie.
Afin d’échapper à une fin funeste, la jeune femme devra faire des choix difficiles pour se faire apprécier de son entourage, à commencer par sa propre famille.
Une aventure romantique et dangereuse au cœur d’un jeu vidéo aux règles peu ordinaires.
Difficile de passer à côté de Seule la vilaine attend la mort de Suol tant ce webtoon fait parler de lui… et pour une très bonne raison : c’est terriblement addictif. Dès les premières pages, on comprend pourquoi tant de lecteurs attendent la suite avec impatience.
L’histoire démarre comme un scénario désormais familier : une jeune femme s’endort après avoir joué au jeu mobile du moment et se réveille piégée à l’intérieur. Sauf que cette fois, elle n’incarne pas l’héroïne… mais Pénélope, la vilaine du jeu, celle dont la mort est inévitable quelle que soit la route empruntée. Pour survivre, elle n’a qu’une solution : jouer selon les règles, faire les bons choix, gagner l’affection de son entourage et déjouer un système pensé pour la condamner.
Chaque parole, chaque geste peut faire grimper — ou chuter — les jauges d’affection, maintenant une tension quasi permanente. Le récit parvient à casser les codes du genre en donnant une vraie profondeur à son héroïne, lucide, stratégique et loin d’être passive. Pénélope est intelligente, adaptable et fascinante à suivre, surtout lorsqu’elle commence à repousser les limites du jeu.
Visuellement, le webtoon est superbe : dessins élégants, personnages charismatiques et ambiance soignée renforcent l’immersion. Les relations entre les personnages sont au cœur de l’intrigue, bien avant la romance, et rendent chaque interaction captivante.
Seule la vilaine attend la mort est un webtoon aussi prenant qu’efficace, qui joue avec les mécaniques du jeu vidéo pour proposer un récit tendu, malin et terriblement addictif. Une lecture qu’on commence « juste pour essayer »… et qu’on dévore en attendant fébrilement la suite.

