Titre original : Tyskungen
Auteur : Camilla Läckberg
traduit du suédois par Lena Grumbach
455 p.
Résumé :
Seul le bourdonnement frénétique des mouches troublait le silence de la pièce. L’homme assis sur la chaise ne bougeait pas. Cela faisait un moment qu’il n’avait pas bougé.
Ce que j’en ai pensé
A la fin du précédent roman, Camilla Läckberg nous laissait avec pleins de questions. Erika était monté au grenier et avait découvert une vieille malle contenant des dessins d’enfants (les siens et ceux de sa sœur Anna) mais aussi une petite brassière de bébé tâchée de sang entourant une médaille nazie. Ce coffre appartenait à sa mère, Elsy. Pourquoi? à qui? comment? Pour Erika, sa mère était déjà un grand mystère mais là il s’épaissit encore plus. Alors elle va se mettre à enquêter sur son histoire familiale.
En parallèle, Martin et sa nouvelle équipière Paula (Patrick a pris un congé pour s’occuper de Maja), vont enquêter sur la mort d’un retraité passionné par la Seconde Guerre mondiale. Ils vont devoir remuer le passé et mettre à jour des secrets… Quand un second meurtre a lieu… une amie de jeunesse de la première victime. A l’époque ils formaient une bande, et la mère d’Erika en faisait partie.
Encore une fois (et oui!), j’ai apprécié la façon qu’à l’auteur de mener son récit. Elle nous balade entre histoire et Histoire, montre les implications des actes du passé sur le présent et en profite pour faire un portrait de la société suédoise d’aujourd’hui.
Je n’ai encore jamais été déçue par les romans de Camilla Läckberg! 🙂
C’est intéressant d’avoir ton point de vue. Je viens de lire La princesse des glaces et j’avoue que je n’ai pas été séduit. J’ai appris récemment que Camilla Läckberg avait continué cette série. Vu cette première expérience plutôt décevante, je me dis que cette série n’est pas pour moi…
J’ai bien envie de tenter cette auteure que je ne connais pas !