L’Empire de sable
titre original : The Sandcastle Empire
Autrice : Kayla Olson
traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Frédérique Le Boucher
Robert Lafont, 2017 (R)


Nous sommes dans un monde dans un futur proche. Le changement climatique a fait monter les eaux et une bonne partie de notre planète est désormais inhabitable. Le peuple a fini par se révolter et une milice, les Loups, ont pris le pouvoir. Une révolution coup de poing, sanglante. Depuis les non-loups sont gardés en captivité dans des camps de travail.
Eden, notre héroïne, est une de ses jeunes captives. Après des années passées dans ce camp, elle n’a qu’une idée en tête : mettre en place son plan d’évasion et partir sur une île nommée Sanctuary. C’est son père qui lui en a parlé. Ce serait une terre neutre où la liberté aurait encore un sens.
Sa fuite ne se passe pas vraiment comme prévu. Elle se retrouve avec 3 autres filles. Et quand elles accostent enfin sur cette fameuse île elle n’est pas si idyllique. Bien au contraire.
Eden, notre héroïne, est une de ses jeunes captives. Après des années passées dans ce camp, elle n’a qu’une idée en tête : mettre en place son plan d’évasion et partir sur une île nommée Sanctuary. C’est son père qui lui en a parlé. Ce serait une terre neutre où la liberté aurait encore un sens.
Sa fuite ne se passe pas vraiment comme prévu. Elle se retrouve avec 3 autres filles. Et quand elles accostent enfin sur cette fameuse île elle n’est pas si idyllique. Bien au contraire.
Le monde imaginé par Kayla Olson est riche, dense et innovant : mêlant technologie, biotechnologie et écologie. L’action est bien présente, les personnages ont chacun une personnalité bien dessinée. Et les rebondissements sont nombreux.
L’intrigue est faite en multi couche : quand on pense comprendre ce qu’il se déroule sous nos yeux, hop l’autrice rajoute un élément.
Alors même si j’ai eu du mal à entrer dans l’univers, j’ai su tout de même reconnaître la qualité de construction narrative, car les éléments sont bien imbriqués. Autre bémol : la résolution m’a semblé, par rapport au reste du roman, trop rapide, voire facile. Et une fin ouverte sur un avenir incertain pour les différents personnages qui ont pu s’en sortir.
Alors même si j’ai eu du mal à entrer dans l’univers, j’ai su tout de même reconnaître la qualité de construction narrative, car les éléments sont bien imbriqués. Autre bémol : la résolution m’a semblé, par rapport au reste du roman, trop rapide, voire facile. Et une fin ouverte sur un avenir incertain pour les différents personnages qui ont pu s’en sortir.
Une dystopie que j’ai trouvé intrigante et surprenante mais dans laquelle j’ai eu du mal à trouver mes marques.
Lu dans le cadre du challenge Un mot des titres