Le Premier Miracle
Auteur : Gilles Legardinier
Lu par David Manet
13h41
Flammarion, 2016
Karen Holt est un agent du gouvernement britannique au sein d’un service de renseignements très particulier. Benjamin Horwood est un universitaire qui ne sait plus trop où il en est. Elle enquête sur une spectaculaire série de vols d’objets archéologiques à travers le monde. Lui passe ses vacances en France sur les traces d’un amour perdu. Lorsque le vénérable historien qui aidait Karen à traquer les voleurs hors norme meurt dans d’étranges circonstances, elle n’a pas d’autre choix que de recruter Ben, quitte à l’obliger. Ce qu’ils vont vivre va les bouleverser. Ce qu’ils vont découvrir va les fasciner. Ce qu’ils vont affronter peut facilement les détruire…
J’étais assez curieuse de découvrir l’auteur avec ce titre différent de ce que j’avais lu de lui jusqu’ici. Nous sommes ici dans roman d’enquête amenant les personnages à questionner l’Histoire, l’art et l’ésotérisme. Mais Gilles Legardinier conserve l’humour et le sens de dérision que j’aime toujours autant dans son écriture. Son roman m’a passionnée de bout en bout et je suis tombée sous le charme de Benjamin !
Benjamin est un historien, un universitaire dont la vie va changer suite au décès de son mentor. Ce dernier intervenait dans une enquête de grandes envergures menée aux côtés de Karen Holt, agent britannique au sein du service du renseignement. Depuis quelques temps, des cambriolages intrigants ont lieu et des objets archéologiques sont dérobés. Que sont véritablement ces objets mystérieux ? Quel est le but de ces voleurs internationaux?
– En étudiant le passé, vous ne courez aucun risque. Aucune décision à prendre, aucun choix cornélien, aucune urgence. Tous les dilemmes sont résolus depuis longtemps. Plus rien à sauver ou à condamner. Uniquement des leçons à tirer, en restant bien au chaud, sur la berge, à l’abri du torrent de la vie.
L’histoire se réécrit sans cesse au fil de ce que nous acceptons d’apprendre chaque jour.
– Sur ma tombe, je vous demande de faire graver : « Certains vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants, mais pas lui. »
– C’est trop long.
– Très juste. Contentez-vous d’inscrire « Trop bon, trop con ». Ainsi, même mort je pourrai servir de leçon aux suivants.

Je suis contente qu’il t’ait emportée du coup si tu as aimé changer de registre. N’hésite pas à te lancer dans nous étions les hommes. J’avais adoré.
Oui je vais essayé de le caser dans mes prochaines lectures! Merci pour le conseil !!
De rien 🙂